Coparentalité : consensus parental (COPAR)
Numéro de contact : 079 503 42 23
Dans le cadre du projet pilote « consensus parental », un processus de soutien à la coparentalité est proposé aux parents sur une durée de 4 mois. Uniquement pour les situations de l’EST vaudois.
Déroulement du processus
Un premier entretien individuel* est fixé avec une intervenante. Les objectifs de cette rencontre sont :
- de renseigner chaque parent sur le déroulement des séances collectives.
- d’identifier les besoins
- de fixer les objectifs de coparentalité qui seront travaillés en séances collectives
Trois séances collectives de 2h chacune sont planifiées sur 4 mois, dont les thèmes suivants sont abordés :
- la réorganisation de la vie de l'enfant après la séparation de ses parents
- L’impact de la séparation sur les enfants
- la posture parentale après la séparation
Les séances collectives, animées par deux intervenants sociaux, sont un espace d’élaboration au développement d’une coparentalité centrée sur les intérêts et les besoins de l’enfant, où chaque parent est invité à aborder sa réalité et travailler les objectifs qu’il s'est fixé.
- Un second entretien* clôt le processus. Il a pour but d’évaluer l’ensemble du processus et les objectifs établis, puis de discuter des alternatives possibles selon les besoins (séances de coparentalité, construction d’un accord, médiation, etc…).
La date de la fin de la mesure est transmise par Accord Famille à l’instance judiciaire ainsi qu’une attestation.
*Le second entretien peut se dérouler en individuel ou en commun à choix des participants.
Procédure d’inscription
- L’instance judiciaire transmet par écrit l’ordonnance à Accord Famille
- Prendre contact au 079 503 42 23 ou contact@accordfamille.ch pour fixer le premier entretien individuel.
Pour toute question liée à la mesure de coparentalité, vous pouvez nous contacter au 079 503 42 23 par mail contact@accordfamille.ch
Nous vous répondrons dans les meilleurs délais.
Financement
Le financement du processus de coparentalité ordonné dans le cadre du consensus parental est pris en charge par l’Etat.